Le sujet de la Z.E.E. ne rιvθle pas seulement l'importance de Castellorizo mais de chaque ξle frontaliθre de la Grθce. Un de ces cas importants est aussi Gavdos. Avec Gavdos est impliquιe, en apparence, seulement et uniquement la Lybie, en raison de la gιographie. Seulement en rιalitι l'affaire de Castellorizo avec la Turquie influence celle de Gavdos avec la Lybie.
L'idée est simple. L'attitude passive avec le premier sujet a des répercussions sur le deuxième. Puisque le doute provoque le doute de l'autre, nous pourrions penser au problème à l'inverse et commencer par l'étude du problème de Gavdos pour qu'il ait des répercussions sur celui de Castellorizo. Car les positions de la Turquie et de la Lybie ne sont pas tout à fait symétriques. Tandis que la Turquie est négative sur tout ce qui concerne la Mer Egée, la Lybie accepte la Z.E.E. de la Crète. Par conséquent, si nous suivons notre stratégie générale via la théorie des jeux, il ne faudra pas que nous soyons axés sur une confrontation diplomatique mais plutôt ouverts aux pays qui ont un abord plus positif envers nous. Par conséquent, l'affaire de Gavdos offre plus de possibilités en principe. En outre avec les mêmes données en ce qui concerne l'ordre des choses en Lybie, le territoire est plus propice à plus de mouvements et bien sûr plus flexibles. Car même s'il existe une situation intermédiaire, celle-ci n'est pas d'un seul bloc de facto et ne peut plus être si verticale. Pour ceux qui croient que le sujet de Gavdos est insignifiant, il suffit qu'ils se demandent pourquoi c'est important pour la Lybie et la réponse est simple, et concerne la région et la taille de la région. Gavdos peut bien n'avoir qu'une superficie de 29 kilomètres carrés et se trouver seulement à 26 miles nautiques au sud de Sfakia, son « grand bleu » inquiète. L'explication n'est pas difficile. La Z.E.E. ne concerne pas exclusivement la longueur, en raison des 200 NM, comme le pensent la plupart. L'essentiel de la Z.E.E. est la superficie. Ainsi la contribution de Gavdos, via la ligne médiane, n'est pas seulement la moitié des 26NM. En réalité il s'agit d'un front entier de cette épaisseur. Lorsque nous savons, donc, combien est importante l'activité pétrolière dans cette région, nous comprenons parfaitement la taille du problème. Il suffit que nous nous rappelions la négociation de Chypre avec l'Egypte pour concevoir pratiquement la valeur de la ligne médiane pour déterminer les frontières de la Z.E.E. En effet tous ces éléments concernent le cadre de l'affaire, mais nous ne pouvons examiner le plan d'action, sans nous référer au problème économique. En effet tous ces éléments soulignent combien important doit être non seulement le soutien de l'activité économique mais aussi les investissements qui doivent revenir à cette île. L'entretien d'une situation déclinante ne suffit pas. Pour que le sujet de la Z.E.E. ait un futur et que soit dynamique le cadre de la négociation, il faut investir dans nos hommes à Gavdos.
L'idée est simple. L'attitude passive avec le premier sujet a des répercussions sur le deuxième. Puisque le doute provoque le doute de l'autre, nous pourrions penser au problème à l'inverse et commencer par l'étude du problème de Gavdos pour qu'il ait des répercussions sur celui de Castellorizo. Car les positions de la Turquie et de la Lybie ne sont pas tout à fait symétriques. Tandis que la Turquie est négative sur tout ce qui concerne la Mer Egée, la Lybie accepte la Z.E.E. de la Crète. Par conséquent, si nous suivons notre stratégie générale via la théorie des jeux, il ne faudra pas que nous soyons axés sur une confrontation diplomatique mais plutôt ouverts aux pays qui ont un abord plus positif envers nous. Par conséquent, l'affaire de Gavdos offre plus de possibilités en principe. En outre avec les mêmes données en ce qui concerne l'ordre des choses en Lybie, le territoire est plus propice à plus de mouvements et bien sûr plus flexibles. Car même s'il existe une situation intermédiaire, celle-ci n'est pas d'un seul bloc de facto et ne peut plus être si verticale. Pour ceux qui croient que le sujet de Gavdos est insignifiant, il suffit qu'ils se demandent pourquoi c'est important pour la Lybie et la réponse est simple, et concerne la région et la taille de la région. Gavdos peut bien n'avoir qu'une superficie de 29 kilomètres carrés et se trouver seulement à 26 miles nautiques au sud de Sfakia, son « grand bleu » inquiète. L'explication n'est pas difficile. La Z.E.E. ne concerne pas exclusivement la longueur, en raison des 200 NM, comme le pensent la plupart. L'essentiel de la Z.E.E. est la superficie. Ainsi la contribution de Gavdos, via la ligne médiane, n'est pas seulement la moitié des 26NM. En réalité il s'agit d'un front entier de cette épaisseur. Lorsque nous savons, donc, combien est importante l'activité pétrolière dans cette région, nous comprenons parfaitement la taille du problème. Il suffit que nous nous rappelions la négociation de Chypre avec l'Egypte pour concevoir pratiquement la valeur de la ligne médiane pour déterminer les frontières de la Z.E.E. En effet tous ces éléments concernent le cadre de l'affaire, mais nous ne pouvons examiner le plan d'action, sans nous référer au problème économique. En effet tous ces éléments soulignent combien important doit être non seulement le soutien de l'activité économique mais aussi les investissements qui doivent revenir à cette île. L'entretien d'une situation déclinante ne suffit pas. Pour que le sujet de la Z.E.E. ait un futur et que soit dynamique le cadre de la négociation, il faut investir dans nos hommes à Gavdos.
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